« Fabrizio Cassol et Alain Platel ont décidé de nous parler de la mort. Rien que ça. Mais d’une façon si désarmante qu’on en reste abasourdi, le cœur palpitant de double-croches frappées sur une calebasse, et qu’à la fin de leur Requiem pour L., un silence épais tombe sur la salle, le temps de laisser les esprits se retirer en coulisses, avant que n’enfle un tonnerre d’applaudissements nourris. »